Un petit 25° à l’ombre, un leger vent frais et printanier vous caressant les joues vous font parfois prendre des deçisions soudaines. Nettoyage de printemps? Non, pas cette fois ci…Commencer un regime? Ca va pas la tête! Non, non rien de tout ça en fait. J’ai pris une deçision plus dans mes cordes: Aller voir la mer. Habitant tout proche de la reserve écologique de Buenos Aires, Je me suis laissé porté par les petits chemins de terre de cette immense zone sauvage et preservée (7 km ligeriens au rio de la plata) et profiter du panorama d’une ville sursaturée boudant la mer derrière une flore et une faune depaysante. Une forêt vierge plantée là, etouffée entre megalopole et ocean, m’a fascinée. Une bonne heure de marche paisible parmis les joggers du week-end, les cyclistes et les promeneurs en famille m’a destressé de mon intense semaine. Je suis revenu chez moi zen, super zen avec la sensation de revenir d’un autre monde. Regardez cette photo: Un contraste etrange s’en degage. Qu’en pensez vous?
Une mer de verdure
Et moi pendant ce temps j’engueulais sabine car elle à petée le parapluie…car oui, il pleut à tours…Je t’envie avec tes odeurs de printemps 🙂
Votre blog c’est trés intéressant. Pondré el link en el mío.
Il y a quelques mois, j’ai eu la même idée, à pied de la plaza San Martin à l’entrée du parc pour m’entendre dire » Ah! C’est fermé suite à un incendie, revenez demain » Par précaution, j’ai attendu deux jours et rebelote même réponse. Je me suis dit « cool Raoul », tu n’es pas en France, attends une semaine. Eh bien je vous le donne Emile ILS FAISAIENT GREVE.
Merci pour la photo, au moins c’est une consolation.
Fredo, je savais pas que tu etais à tours en ce moment! veinard.
Merci dalila pour ce gentil mot, et bienvenue sur ma vision de Buenos Aires. Roberto, j’ai appris que les feux seraient reguliers dans la reserve et ilicitement mis par/pour des promoteurs immobiliers peu scrupuleux qui souhaitent construire des nouveaux immeubles dans la zone en voulant prouver au gouvernement que le site n’est pas entretenu et qu’il coute chere à la communauté pour son entretien…pour que la ville leur cède quelques hectares. Quel bande de gros c..!!
an argentina esto no sucede.